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La bonne tenue de certaines listes socialistes signifie aussi que des
barons locaux qui incarnent le « vieux PS » restent en place.
C’est assurément un paradoxe. Car au bout de dix ans, il faut bien
convenir que le pari d’Elio Di Rupo de rénover son parti sans quitter
le pouvoir a échoué. … »
Les
périodes électorales sont des moments privilégiés pour s’interroger sur
le bien-fondé de notre démarche. Ainsi, cette analyse des codirecteurs
de « POLITIQUE », revue de débats, nous conforte dans notre
projet local. Non seulement parce qu’elle rejoint nos réflexions sur le
PS de Soumagne, mais surtout parce qu’elle émane des auteurs d’une
revue « de gauche », peu suspects de préjugés anti-PS.
En soulignant qu’on ne peut changer le « vieux PS » en le maintenant au pouvoir,
ils apportent de l’eau au moulin de notre projet de créer une
alternative communale à Soumagne. Agir de la sorte, c’est sans nul
doute dans l’intérêt des partis locaux cdH, Écolo et MR, mais aussi
dans celui bien compris du PS.
Dans ces conditions, on se demande pourquoi certains membres de la minorité sont encore réticents à s’inscrire dans cette démarche ?
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